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- Écrit par : Andrée-Anne Girard, consultante
Les activités de formation peuvent être nombreuses dans nos organisations. Puisque les employés sont au cœur des organisations, on souhaite qu’ils se développent, qu’ils acquièrent de nouvelles habiletés et, par le fait même, que toute l’organisation en bénéficie. Le départ à la retraite d’employés clés, la vulnérabilité de certains savoirs critiques, un changement de procédure de travail, un partage de tâches à instaurer ou tout simplement l’accueil d’un nouvel employé sont toutes des raisons qui justifient, entre autres, des activités de formation.
Par nos interventions chez nos clients, nous constatons rapidement que cette volonté de développer les compétences et le potentiel humain est une préoccupation majeure dans de nombreuses organisations. Pourtant, malgré des formations ciblées qui répondent à des objectifs d’apprentissage bien précis, force est de constater que bien des compétences ainsi apprises ne sont pas réutilisées, une fois l’activité de formation terminée.
Il est donc primordial de se questionner sur les raisons d’un tel constat. Qu’est-ce qui fait qu’entre 60 et 90 % des apprentissages réalisés en formation ne sont pas transférés en milieu de travail?1 Considérant les investissements massifs faits en formation chaque année, on parle de plus d’une centaine de milliards aux États-Unis2, s’intéresser au transfert des apprentissages devrait sans aucun doute être à la base de tout système de gestion des compétences.
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- Écrit par : Nadia Mercier, consultante développement des compétences
La richesse d’une organisation réside dans l’expérience et le savoir cumulés de chacun des individus qui la composent. Dans un souci d’amélioration continue, comment est-il possible d’optimiser le développement des savoirs individuels et collectifs d’une organisation? Voici quelques pistes de réflexion concernant le développement d’une culture d’apprentissage dans les organisations.
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- Écrit par : Patrick Rivard, M.B.A., CRHA, cofondateur, associé et Andrée-Anne Girard, B. Éd., consultante
Note : Le masculin est utilisé pour alléger le texte, et ce, sans préjudice pour la forme féminine.
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- Écrit par : Marie-Pierre Gagné, M. Sc., consultante en développement organisationnel